Karina Kellner, présidente du CIDEFE adresse un appel aux élu·es :
Cher·es élu·es,
Comme vous le savez, deux modes de financement obligatoires existent et cohabitent pour concrétiser votre droit à la formation : celui assuré par votre collectivité et celui géré par la Caisse des Dépôts et Consignations dans le cadre du Droit Individuel à la Formation (DIF-élu/DIF-e).
Le budget du DIF-e géré par la Caisse des Dépôts et Consignations est constitué par le prélèvement à la source de 1% des indemnités versées aux élus locaux.
Ce budget étant le vôtre, il semble essentiel que vous l’utilisiez pleinement. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.Nous mesurons ses limites suite aux récents décrets ou ordonnances gouvernementales.
Ainsi, nous continuons à porter une nécessaire valorisation de vos droits DIF-e qui avec 400 euros par an et 800 euros cumulables sont aujourd’hui insuffisants.
Nous connaissons par ailleurs les difficultés administratives d’accès au DIF-e qui vous sont imposées.
Nous partageons enfin votre attachement au financement de votre droit à la formation par les collectivités elles-mêmes, là où vous exercez précisément votre mandat.
Pour autant, « l’un n’empêche pas l’autre ».Utiliser aussi le DIF-élu permet de donner du sens au droit à la formation. Cela permet de « ne pas lâcher » l’exigence de garantie d’un droit essentiel, aux antipodes d’une professionnalisation voulue de la fonction d’élu·e.
Utiliser le DIF-élu avec le CIDEFE permet de participer à la pérennisation et au développement du seul centre de formation qui partage vos valeurs et vos ambitions, capable d’accompagner vos besoins et vos attentes.
Ainsi, toute l’équipe du CIDEFE est disponible pour vous accompagner dans l’accès au DIF-e. Ne laissez pas échapper votre droit à la formation !
N’hésitez pas à nous contacter.Bien à vous,
Karina KELLNER
Présidente du CIDEFE
Cliquez pour retrouver le document distribué cet été au Campus des élu·es à Strasbourg
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