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Nature en ville : s'appuyer davantage sur les bénéfices des écosystèmes

par | 24.02.22 | Actualité, Environnement

De l’habitat à la santé, en passant par l’alimentation ou la biodiversité, quelle que soit l’entrée choisie pour aborder le sujet de la nature en ville, la mission flash de l’Assemblée nationale, qui présentait ses conclusions ce 22 février, invite les acteurs publics comme privés à questionner leurs pratiques pour recentrer les projets urbains sur les nombreux services écosystémiques que la nature procure.

Alors que la pandémie a renforcé le besoin de nature des Français, sa place et son rôle dans les zones urbaines méritent d’être améliorés en raison des nombreux bénéfices environnementaux, économiques, sociaux et sanitaires qu’elle apporte. C’est tout l’enjeu soulevé par la mission flash de l’Assemblée nationale sur la nature en ville, dont les conclusions étaient présentées ce 22 février devant la commission du développement durable par ses co-rapporteures Sophie Métadier (Indre-et-Loire/ UDI) et Valérie Petit (Nord/Agir Ensemble). « Poser la question de ce qu’est la nature en ville appelle en général une réponse du type les parcs, les jardins, les arbres ou les abeilles », relève avec une pointe d’ironie la députée Sophie Métadier, constatant que « pendant longtemps l’action publique n’a considéré la nature que sous le prisme de l’embellissement de la ville et du cadre de vie ».

De la manière de produire, de se nourrir, en passant par la santé, le bien-être, l’habitat et la cohésion sociale, le dérèglement climatique et la biodiversité, la mission aborde cinq thématiques couvrant les différents usages de la nature en ville, en combinant deux logiques : la préservation et le renforcement de la nature urbaine en l’inscrivant dans le triptyque ERC (éviter, réduire, compenser) et les solutions fondées sur la nature s’appuyant sur les écosystèmes pour relever les défis globaux comme la lutte contre le changement climatique, la gestion des risques naturels etc.

Au sommaire :

  • Développer la formation et l’ingénierie territoriale ;
  • Compléter la trame verte et bleue ;
  • Intégrer la nature dans un modèle économique  ;
  • Angers un exemple de réussite ;
  • Faire de l’acupuncture urbaine.

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