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Le logement social à la campagne fait dans la dentelle

par | 13.12.22 | Actualité, Logement

Les besoins en logements sociaux existent aussi dans les territoires ruraux, même s’ils ont évolué. Ces logements sociaux permettent d’accueillir une population vieillissante, mais également des familles ou des jeunes actifs. Les projets étant de petite taille, épars et chers, il faut mobiliser tous les moyens disponibles.

« Les bailleurs sociaux ne tournent pas le dos à la ruralité », assure ­Anne Schwerdorffer, directrice de l’Union sociale pour l’habitat (USH) de Bourgogne – Franche-­Comté. Mais qu’est-ce que la ruralité ? Les définitions ne manquent pas. Muriel Boulmier, présidente de l’Union régionale HLM Nouvelle ­Aquitaine retient cette catégorisation : la ruralité adjacente à l’urbain, celle qui en est irriguée et celle qui en est délaissée.

L’héritage historique et les évolutions liées à la crise sanitaire doivent être pris en compte. Le contexte n’est pas le même dans la ville de ­Fumel (4 800 hab., Lot-et-Garonne), où a fermé l’usine métallurgique bicentenaire en 2019, qu’à ­Wavignies (1 300 hab., ­Oise), à 100 kilomètres de ­Paris, qui connaît un regain d’inté­rêt des citadins depuis l’irruption du ­Covid-19. Mais partout en zone rurale, les bailleurs sociaux sont confrontés à des problématiques spécifiques…

Au sommaire :

  • La maison de plain-pied attire ;
  • Des financements exsangues ;
  • Une volonté de mixité entre générations.

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