Les risques qui pèsent sur les agents à cause des fortes chaleurs à répétition obligent les collectivités à organiser leur travail en conséquence.
La vague de chaleur qui a touché la France mi-juin a été exceptionnelle par sa précocité et son intensité. Pour la première fois dans l’histoire des relevés météorologiques, la température de certaines villes a dépassé les 40 °C, en particulier dans le Sud-Ouest, à Biarritz (42,9 °C) ou à Rochefort (40,6 °C).
Si un tel épisode de canicule est encore rare, il ne le restera probablement pas : mieux vaut donc s’y préparer. « Il faut établir une charte, un protocole ou une note interne et recommuniquer chaque année sur les mesures prévues », indique Vanessa Schmit, chargée de prévention et de ressources humaines au CIG de la petite couronne d’Ile-de-France (350 collectivités, 150 000 agents suivis). Ces mesures relèvent de l’obligation générale de l’employeur de préserver la santé des agents, mais la réglementation ne définit pas « le travail à la chaleur »…
robert
15 Juil 2022l’impact caniculaire plus fréquent sur les travailleurs qui va obliger à repenser les modes de travail, notamment pour les agriculteurs et les ouvriers du BTP qui sont particulièrement concernés par les mesures de prévention vis-à-vis des effets de la canicule : https://www.officiel-prevention.com/dossier/sante-hygiene-medecine-du-travail-sst/chauffage-climatisation-isolation-thermique/la-prevention-des-effets-de-la-canicule-au-travail