Les communes disposant de marges de manœuvre ont été plus enclines à investir lors du mandat précédent. Dans sa synthèse des années 2014-2019, l’observatoire des finances et de la gestion locale (OFGL) relève de fortes disparités entre les localités, suivant leur taille, leur localisation ou leur capacité d’autofinancement.

Pas d’unisson face à l’investissement ! Selon leur strate et leur implantation, leur positionnement urbain, rural, touristique ou de montagne, les communes ne consacrent pas les mêmes montants aux équipements. C’est le premier enseignement de l’étude de l’Observatoire des finances et de la gestion publique locale (OFGL) sur les investissements réalisés entre 2014 et 2019.

Des résultats « précieux qui confirment qu’une bonne santé financière est souvent un préalable aux réalisations », résume le président du Comité des finances locales, André Laignel, pour qui un sous-investissement témoigne souvent « d’une volonté de reconstituer des marges de manœuvre. »…

Au sommaire :

• Plus d’investissement en fin de mandat ;
• L‘État, financeur principal, suivi des départements ;
• Moins on investit et mieux on se porte.

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