L’association Villes Internet appelle à un développement mieux maîtrisé des nouvelles technologies, de manière à assurer un numérique qui soit utile à tous – ce qui passe par une priorité donnée à la 4G et à la médiation numérique.
S’occuper des territoires sous-dotés avant ceux qui sont déjà fibrés : c’est en substance l’appel lancé par Villes internet, l’association des élus au numérique, qui lors de son dernier congrès, jeudi 6 octobre à Paris, a adopté une motion reprenant 29 propositions prochainement présentées à la Première ministre, Élisabeth Borne.
La première d’entre elles demande de se concentrer d’abord sur les zones blanches, tant au niveau du réseau mobile que d’internet, en « priorisant l’installation du réseau 4G dans les territoires non connectés plutôt que la course à la 5G en zone dense ».
« On est en 2022, et partout en France il y a encore de nombreux territoires qui ont des difficultés importantes de connexion à Internet » , s’est agacé Mathieu Vidal, président de Villes internet, même si celui-ci reconnaît que même dans les zones denses, « les réseaux sont de plus en plus sollicités, ce qui pose également la question de leur entretien et de leur maintenance ».
En ce qui concerne la fibre optique, il s’agit « d’encadrer le processus de déploiement et de maintenance des réseaux par les opérateurs en évaluant les pratiques et en contrôlant les sous-traitants. » C’est un sujet qui cristallise la colère des élus, confrontés aux erreurs de branchements et aux coupures sauvages, notamment en raison de « l’ubérisation » de la sous-traitance chez les opérateurs…
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Actualité du jourVilles internet souhaite prioriser la 4G dans les zones encore mal couvertes plutôt que la course à la 5G en zone dense
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